Andropause : quels symptômes, causes et traitement possibles ?

Andropause : Peut-on vraiment parler de ménopause masculine ?

Tous les hommes neressentent pas ces symptômes de la même manière, et certainspeuvent ne pas les remarquer du tout. Une fois par semaine, recevez des informations de qualité pour prendre soin de votre santé. Si l’homme souffre d’impuissance, le médecin prescrira un traitement adapté. Avant la mise en route des traitements hormonaux, un bilan clinique et biologique complet doit être réalisé.

Cela dépend de l’âge auquel elle se déclenche et les moyens mis en place pour faire remonter votre taux combien de cycle de cure de testosterone das année (revista.med.unlp.edu.ar) testostérone. Elle est rarement dépistée due au manque de connaissances, et au fait qu’elle intervient en dehors de tout contexte pathologique. De ce fait, il est possible de manifester des symptômes de manière précoce dès l’âge de 20 ans.

Chez les femmes, la ménopause arrive de manière assez brutale, avec des signes très marqués, et se poursuit jusqu’à l’arrêt complet de la production d’œstrogènes par les ovaires (en moyenne vers 55 ans). Les variations comportementales liés aux perturbations hormonales se manifestent par exemple par une irritabilité, une anxiété, du stress, de la fatigue, des troubles du sommeil. Les bouffées de chaleur, la prise de poids, l’ostéoporose peuvent aussi concerner les hommes avec l’âge, en raison de ce déficit hormonal, dans une moindre mesure. La gestion de l’andropause débute par la mise en place de mesures hygiéno-diététiques. Il faut veiller à avoir une alimentation variée et équilibrée et à pratiquer une activité physique régulière. Ce mode de vie sain permet de lutter contre le surpoids et de conserver un poids santé. Le sport contribue au maintien d’une bonne santé osseuse et musculaire.

Généralement, les personnes concernées consultent plutôt vers l’âge de 65 ans. Cependant, l’andropause précoce existe et peut s’installer dès l’âge de 20 ans. L’andropause touche uniquement les hommes et peut débuter vers l’âge de 45 ans. Il est donc préférable de consulter votre médecin, en premier lieu, afin de bénéficier d’un examen clinique.

Une hormone est une molécule qui permet de transmettre des messages chimiques. Elle est sécrétée par une glande et agit à distance et par voie sanguine sur des récepteurs spécifiques d’une cellule cible. Elle transmet un message sous forme chimique et joue donc un rôle de messager dans l’organisme. Soulignons cependant que l’andropause n’est pas le semblable masculin de la ménopause. A l’opposé de cette dernière, le déficit d’androgènes ne signifie pas que l’homme perd ses capacités de reproduction. Si vous observez l’un de ces symptômes chez vous, il faut consulter pour l’andropause. L’élan sexuel ayant été pour une majorité des hommes une donnée constitutive de leur être et de leur quotidien, on peut comprendre que l’homme sorte démuni de cette confrontation soudaine à une réalité vécue comme dévalorisante.

Généralement, les patients consultent en raison d’une baisse de la libido, des performances sexuelles ou en cas de troubles de l’érection. Attention, ces signes ne sont pas toujours les témoins de l’andropause mais sont fréquents avec l’âge. S’il n’y a pas de baisse hormonale, la prescription de certains médicaments améliorant la fonction érectile comme citrate de sildénafil ou Viagra est souvent suffisante. L’andropause se définit comme la diminution de la production de testostérone chez l’homme.

Ce phénomène ne concerne pas tous les hommes, mais une minorité d’entre eux. En outre, quand un homme est atteint d’andropause, il n’y a pas littéralement de pause dans la production hormonale, mais une diminution lente et partielle de cette dernière. L’andropause désigne par conséquent un déficit de testostérone dû à l’âge, chez certains hommes. Ce déficit hormonal entraîne des conséquences psychologiques et biologiques, qui peuvent altérer la qualité de vie de la personne. Une thérapie de remplacement de la testostérone dans le sang est le traitement le plus fréquemment administré aux hommes qui traversent l’andropause, mais on doit envisager les risques et les avantages d’un tel traitement avant de l’amorcer. Ce traitement est susceptible de procurer un soulagement des symptômes et d’améliorer, dans bien des cas, la qualité de vie. Des changements de style de vie comme une augmentation de la quantité d’exercices pratiqués, la réduction du stress et une bonne alimentation s’avèrent aussi efficaces.

L’andropause, parfois appelée le « syndrome de déficit en testostérone », est une phase naturelle du vieillissement masculin marquée par une diminution progressive des niveaux de testostérone. Contrairement à la ménopause chez les femmes, ce processus est souvent lent et graduel, ce qui le rend plus difficile à identifier. Bien que l’andropause touche un grand nombre d’hommes, elle reste largement méconnue et sous-diagnostiquée. Les symptômes peuvent inclure une baisse d’énergie, une diminution de la libido, des troubles de l’humeur, une prise de poids, une perte de masse musculaire, ainsi qu’une réduction des performances cognitives. Parce que ces symptômes évoluent progressivement, beaucoup d’hommes les attribuent à l’âge ou au stress, sans reconnaître qu’ils peuvent être liés à un déséquilibre hormonal. L’andropause, bien que naturelle, peut avoir des répercussions importantes sur la qualité de vie et mérite d’être mieux comprise et prise en charge.

Le symptôme andropause chez l’homme est donc mal vécu et il touche près de 3% des hommes de 60/69 ans selon une étude réalisée par l’European Male Aging Study. Pour la femme, il y a, bien sûr, l’inévitable étape de la ménopause avec sa cohorte de maux. L’andropause consiste en une baisse physiologique de la sécrétion de testostérone avec l’âge. Elle touche les hommes à partir de 45 ans mais pas tous les hommes et à des âges très variables (un sur cinq entre 45 et 70 ans). L’andropause n’est pas une maladie mais une conséquence du vieillissement.